sur du piano
Ce soir , division extrème, fin de soirée, tout le monde s'est (est) baré! j'hume le parfum de la solitude, je vie sa plainitude, sans aucune vague dans l'écume je vie l'atmostphère reposante quelle m'apporte. Seul dans ma bulle j'aime vivre au son des vagues qui me fraccase sur les rochers, ce silence qui me porte. J'attend patiement le someil qui me permetra l'envol loin du réel, loin du cette platospère irréelle qui ne m'est pas charnèle... Je travaille en solitère depuis mon annuaire d'ami imaginaire, ma vie tel un planistphère dans la stratosphère de mes chimère, je suis et j'adhère à toute cette atmosphère qui me met à terre... Planète en détresse qui me pousse à me taire que j'aime ton ogueil mon compère, l'ironie planté branché à la terre mon ami je te salut sous terre
